lundi 2 juillet 2007

Ah l'océan...!


Ce week-end, escapade en famille à l'océan (Biarritz). Nous avons tout d'abord fait une petite escale à la campagne vendredi soir, histoire de se poser et de réduire un peu le temps de trajet le lendemain. Puis, envers et contre tout (après 2 heures passées à rassembler affaires de plage, nécessaires de survie et autres), nous sommes enfin parvenus à franchir le seuil du portail vers 11h. Après une pause brève mais efficace pour manger, nous avons continué notre petit bonhomme. En arrivant, l'après-midi étant déjà bien entamée (et le soleil avait lui aussi commencé à entamer les peaux blafardes des vacanciers). Nous nous sommes jetés avidement à l'eau, après avoir quand-même attendu 20 minutes qu'une place se libère dans le parking près de la plage (hors de qustion de se taper 30 bornes avec enfants et sacs surchargés sur le dos sous une chaleur de plomb!).
Et là, libération! Les doigts de pied en éventail, avec le contact du sable chaud et humide, nous nous sommes enfin posés. Nous avons profité de la présence de Maman peu après (qui venait d'arriver elle aussi pour prendre ses quartiers d'été d'une semaine) pour se faire une partie d'exploration masque-tuba, très admirée d'ailleurs par nos voisins et compatriotes de mer...
La journée s'est terminée comme dans un rêve, avec jusqu'au bout ce temps idyllique et pas un pet de vent! Nous nous sommes "entassés" dans le studio prévu initialement pour une voire 2 personnes (si la 2ème est très mince) et avons passé une nuit plutôt agitée mais bercée par le mouvement des vagues. Le lendemain par contre, le temps était aux nuages. L'après-midi, certaines plages étaient interdites de baignades pour cause de tempête. Nous sommes donc repartis en fin d'après-midi, avec plein d'images et de merveilleux souvenirs en tête (les enfants étaient épuisés et ont dormi tout leur saoûl tout le long du trajet). Quelle chance quand-même de vivre toute l'année dans ces villes de bord de mer, je crois que si les contraintes ne me retenaient pas ici, je filerais dare-dare me shooter avec les embruns marins, quite à aller jusqu'à l'overdose!

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